La Rochelle
médiévale


La Rochelle
protestante


Rochelais
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Les Armes de La Rochelle

En 1568, la ville de La Rochelle rejoint le parti protestant, l'Aunis et la Saintonge comptant déjà au XVIème de nombreux adeptes de Calvin. La Rochelle, perçue comme une ville protestante, va souffrir de l'intolérance des catholiques et protestants



Les édifices religieux

L'église Saint Barthélémy
L'église Saint Sauveur
L'église Notre Dame
La cathédrale
La chapelle des Carmes
Les ouvrages fortifiés

La tour de la Chaîne
La tour Saint Nicolas
La tour de la Lanterne
La Grosse Horloge
La Porte Royale
La Porte Dauphine
Les rues et lieux-dits

Les fontaines
La rue du Palais
La rue du Temple
La rue Bletterie
La rue des Merciers
La Bourse
La Maison Henri II

Les Rochelais ne sont pas opposés à la monarchie, ils veulent réformer et corriger les "grands abus et corruptions" de leur temps.
La Rochelle, avec 25000 habitants, est une cité importante à l'époque, riche du commerce maritime qu'elle entretient (depuis le Moyen-âge) avec l'Agleterre, les pays d'Europe du Nord, l'Espagne.
La sécession de la cité inquiète donc le pouvoir royal.
Dans le royaume de France, le Prince de Condé, les Coligny, les Rohan, Henri de Navarre ont rejoint la cause protestante. En Aunis et Saintonge, François de Pons Baron de Mirabeau, Guy Chabot, Baron de Jarnac et leutenant du Roi à La Rochelle ont rejoint le mouvement protestant. Les villes de Marennes, Saintes et Pons sont protestantes.

La Rochelle au XVIème siècle

La Rochelle est, avec cognac, l'une des quatre places de sûreté que la Paix de Saint-Germain octroie aux protestants (1570).
Pourtant, au cours de la nuit du dimanche 24 aout 1572, jour de la Saint Barthélémy, la violence religieuse se déchaine contre les protestants.
Les soldats du Roi, du Duc d'Anjou, du Duc de Guise, de la Ligue orchestrent la violence collective qui se déchaine contre les huguenots, à Paris surtout.